Le chef des séparatistes déboussolé par les poursuites décidées par la justice espagnole
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Le choix par Brahim Ghali de cet endroit où une photo avait montré des jeunes Sahraouis en tenue militaire et armés de kalachnikov, est une manière de dire aux populations des camps de Tindouf que le chef n’est pas plus préoccupé par le mandat lancé par l’Audience nationale espagnole que par les préparatifs des combattants du Polisario à une éventuelle guerre qu’il pourrait déclarer contre les Forces Armées Royales, nous indique un ancien des camps qui a rallié la mère patrie. Ajoutant que le chef du Polisario fait circuler une information selon laquelle il fait une tournée «des régions militaires» pour faire remonter le moral de ses troupes. Ce même rallié, qui a préféré garder l’anonymat, a indiqué que la justice espagnole a procédé à un examen approfondi des documents algériens que le chef du Polisario utilise dans ses différents déplacements, en vue d’établir un mandat d’arrêt national sur toute l’étendue du territoire ibérique, dans la mesure où l’intéressé continue de refuser de comparaître devant la justice et de répondre des accusations dont il est l’objet. En attendant, les plaignants attendent toujours les décisions de la haute instance juridique concernant Ghali ou les autres accusés, qu’il s’agisse des officiers algériens ou des dirigeants du Polisario.
Rappelons que bon nombre de rescapés des geôles du Polisario accusent le chef du Polisario de tortures, de meurtres, de kidnappings et de viols.












