-
Université de Fès : Un budget de 263 MDH pour le renforcement de la densité du personnel de la santé à l'horizon 2030
-
Éclairage à Casablanca sur le rôle de l’université dans la promotion de la science ouverte
-
Le Forum international de l'étudiant fait escale à Laâyoune
-
Le Maroc déploie d'énormes efforts pour assurer la protection juridique des non-voyants et des malvoyants

Les faits : tout a commencé le jour où l’on avait entamé des travaux de démolition d’une petite villa avoisinant l’immeuble en question. On envisageait la construction d’un autre bâtiment sur le même terrain. Quelques jours après l’entame des travaux, les vitres des appartements de l’immeuble habité se sont brisées, d’où une première alerte pour les locataires. Et plus les fouilles avançaient, plus le danger devenait grand. On constata ensuite que les fondations commençaient à céder, entraînant une inclinaison de l’immeuble et laissant apparaître des fissures dans les piliers de l’immeuble.
Alertées, les autorités concernées sont intervenues pour arrêter les travaux de démolition et ont demandé une expertise pour déterminer les causes de cet incident. L’entrepreneur qui se dit en règle vis-à-vis de la loi et des règlements en vigueur, prétend que c’est un défaut de construction dans l’immeuble mitoyen qui en est la cause, alors que les habitants de l’immeuble soutiennent que des manœuvres anarchiques lors de la démolition ont entraîné des dommages dans les soubassements du bâtiment. En attendant les résultats de l’expertise des spécialistes et du laboratoire national, les familles qui logeaient dans cet immeuble sont livrées à elles-mêmes et vivent un véritable calvaire.