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La voix envoûtante et féerique de la chanteuse italienne Patrizia Laquidara a retenti dans les vestiges du site historique Chellah, dimanche à Rabat, lui redonnant, comme par magie, toute sa splendeur d’antan.
Une voix qui a résonné dans une parfaite symbiose entre un style artistique explorant le vaste et très riche répertoire de la musique populaire et traditionnelle commune à la culture des peuples de la Méditerranée et une architecture d’une valeur symbolique, historique et universelle.
Les oiseaux de Chellah, émus par les mélodies ensorceleuses de la diva italienne, se sont tus, le temps d’un concert, pour céder la place aux chants de Patrizia Laquidara, à la guitare classique de Daniele Santimone et à la basse acoustique d’Enrico Terragnoli.
Oumou Sangaré
La diva malienne Oumou Sangaré a mis le feu, samedi soir, à la scène du Bouregreg à Rabat, livrant un show des plus explosifs dans le cadre de la 17ème édition du Festival Mawazine ryhtmes du monde.
Accueillie chaleureusement par un vaste public, dont de nombreux ressortissants maliens et africains, l’artiste a fait revivre l’assistance d’agréables moments, en interprétant une sélection de ses meilleures chansons à succès à l’instar de “Kemelemba”, “Kounadia” et “Diarabi Nene”.
Kora, basse, guitare électrique, batterie et synthétiseur, le groupe était bien armé pour enflammer la scène et transformer le spectacle en une véritable piste de danse à ciel ouvert.