Bouillon de culture

Johnny Hallyday

Le légendaire rockeur français Johnny Hallyday a été condamné jeudi en France à verser, solidairement avec son éditeur, 2.500 euros de dommages et intérêts à son ex-épouse Adeline Blondieau pour l'avoir diffamée dans un passage de son autobiographie. En première instance, Adeline Blondieau, qui a tourné dans la série télévisée "Sous le soleil" avait été déboutée mais elle avait fait appel. La Cour d'appel de Paris lui a donné raison pour l'un des trois passages du livre "Dans mes yeux", coécrit par Johnny et l'écrivain Amanda Sthers, publié en 2013, qu'elle poursuivait.
Selon le chanteur, Adeline Blondieau le "trompait avec tous les petits mecs de Saint-Tropez (sur la riviera française) et jouait les saintes-nitouches". Me Alexandre Blondieau, avocat et frère d'Adeline, s'est dit "satisfait" que "la Cour d'appel ait reconnu que Johnny Hallyday avait dépassé les limites de la liberté d'expression".

Exposition

L'artiste marocain Mustapha El Haddar monte sa première exposition individuelle au Centre culturel Dar Souiri à Essaouira sous le signe "Si le monde était clair, l'art ne serait pas". Cette exposition artistique donne à voir et apprécier quelque 14 tableaux dont les thèmes sont les préoccupations quotidiennes des gens notamment la protection de l’environnement. Artiste autodidacte, Mustapha El Haddar affirme appartenir à "l’art brut singulier", un art spontané, sans prétentions culturelles et sans démarche intellectuelle, œuvrant en dehors des normes esthétiques convenues. Cet artiste se distingue par l’utilisation de la peau de chèvre comme matière première dans ses œuvres artistiques.