Autres articles
-
La commission d'aide à la production des œuvres cinématographiques dévoile les projets admis à l'avance sur recettes au titre de la 1ère session de 2024
-
Fatima Nouali Azar, membre du jury de la compétition des courts métrages
-
Le film marocain "Coup de tampon" projeté à Cotonou
-
La Journée mondiale du théâtre célébrée en grande pompe à Marrakech
-
L’ICESCO appelle à renforcer l’intégration du “père de tous les arts” dans les programmes scolaires
Festival
Le coup d’envoi de la première édition du Festival des films des droits de l'Homme, organisé par l'Observatoire du Sud pour les politiques de développement, a été donné jeudi à Guelmim avec la projection du long-métrage américain "12 Angry Men" de Sidney Lumet. Le film (produit en 1957), qui a ouvert la première édition de cet événement cinématographique initié à l'occasion de la Journée mondiale contre la peine de mort sous le slogan "Le cinéma au service du droit à la vie", raconte l'histoire d'un jury de 12 hommes participant à un processus de consultation visant à déterminer le sort d'un jeune homme (exécution ou non) accusé de meurtre au premier degré. Le festival a pour objectif de sensibiliser le public au droit à la vie et de contribuer au débat sociétal sur la peine de mort. Dans une déclaration à la MAP, le directeur de l’Observatoire, Yahya El Ouazkani, a expliqué que la tenue de cette manifestation découle de la conviction que l’éducation aux droits de l’Homme passe par de nombreux canaux, y compris le cinéma.
Soirée hommage
Des dizaines de convives ont afflué, dimanche, vers une salle de fêtes à Copenhague, pour célébrer la femme marocaine, le temps d’une soirée rythmée de madih et de chants puisés dans le répertoire riche et diversifié d’une culture ancestrale qui se perpétue au-delà des frontières. Cette soirée, organisée à l’occasion de la Journée nationale de la femme qui coïncide avec le 10 octobre de chaque année, se veut, selon ses initiateurs, une occasion pour mettre en exergue le rôle et la place qui échoient aux Marocaines d’ailleurs. Au menu, une soirée musicale animée par le jeune mounchid Ismael Belouche, venu spécialement de Nador, sa ville natale, pour se produire devant une audience qui, quoique diverse et hétéroclite, reste unie par sa charpente matricielle et sa culture marocaine.
Le coup d’envoi de la première édition du Festival des films des droits de l'Homme, organisé par l'Observatoire du Sud pour les politiques de développement, a été donné jeudi à Guelmim avec la projection du long-métrage américain "12 Angry Men" de Sidney Lumet. Le film (produit en 1957), qui a ouvert la première édition de cet événement cinématographique initié à l'occasion de la Journée mondiale contre la peine de mort sous le slogan "Le cinéma au service du droit à la vie", raconte l'histoire d'un jury de 12 hommes participant à un processus de consultation visant à déterminer le sort d'un jeune homme (exécution ou non) accusé de meurtre au premier degré. Le festival a pour objectif de sensibiliser le public au droit à la vie et de contribuer au débat sociétal sur la peine de mort. Dans une déclaration à la MAP, le directeur de l’Observatoire, Yahya El Ouazkani, a expliqué que la tenue de cette manifestation découle de la conviction que l’éducation aux droits de l’Homme passe par de nombreux canaux, y compris le cinéma.
Soirée hommage
Des dizaines de convives ont afflué, dimanche, vers une salle de fêtes à Copenhague, pour célébrer la femme marocaine, le temps d’une soirée rythmée de madih et de chants puisés dans le répertoire riche et diversifié d’une culture ancestrale qui se perpétue au-delà des frontières. Cette soirée, organisée à l’occasion de la Journée nationale de la femme qui coïncide avec le 10 octobre de chaque année, se veut, selon ses initiateurs, une occasion pour mettre en exergue le rôle et la place qui échoient aux Marocaines d’ailleurs. Au menu, une soirée musicale animée par le jeune mounchid Ismael Belouche, venu spécialement de Nador, sa ville natale, pour se produire devant une audience qui, quoique diverse et hétéroclite, reste unie par sa charpente matricielle et sa culture marocaine.