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DJ Arafat
Le procureur d'Abidjan, Richard Adou, a annoncé lors d'une conférence de presse mercredi que ses services allaient désormais réprimer plus sévèrement les dérives sur l'Internet et les réseaux sociaux, menaçant les administrateurs et modérateurs de poursuites. Cet avertissement intervient dans le sillage de la mort du chanteur DJ Arafat avec la diffusion d'images de son corps après son accident puis exhumé après la profanation de son corps. C'est aussi une mesure annoncée à un an de la présidentielle de 2020 qui s'annonce tendue, dix ans après la crise de 2010-2011 ayant fait 3.000 morts alors que les réseaux sociaux n'avaient pas encore l'importance qu'ils ont aujourd'hui dans le pays. "Nous avons touché le fond" avec les "dérives" sur l'Internet autour de la mort de DJ Arafat, a lancé le procureur qui a affirmé avoir rencontré des administrateurs de sites, dont ceux de Facebook, et fait "passer un message de fermeté extrême selon lequel ces infractions seront désormais réprimées".
Le procureur d'Abidjan, Richard Adou, a annoncé lors d'une conférence de presse mercredi que ses services allaient désormais réprimer plus sévèrement les dérives sur l'Internet et les réseaux sociaux, menaçant les administrateurs et modérateurs de poursuites. Cet avertissement intervient dans le sillage de la mort du chanteur DJ Arafat avec la diffusion d'images de son corps après son accident puis exhumé après la profanation de son corps. C'est aussi une mesure annoncée à un an de la présidentielle de 2020 qui s'annonce tendue, dix ans après la crise de 2010-2011 ayant fait 3.000 morts alors que les réseaux sociaux n'avaient pas encore l'importance qu'ils ont aujourd'hui dans le pays. "Nous avons touché le fond" avec les "dérives" sur l'Internet autour de la mort de DJ Arafat, a lancé le procureur qui a affirmé avoir rencontré des administrateurs de sites, dont ceux de Facebook, et fait "passer un message de fermeté extrême selon lequel ces infractions seront désormais réprimées".