Bouillon de culture

Mercredi 28 Novembre 2018

Husky     

Le rappeur russe Husky, aux textes parfois critiques des autorités, a été libéré lundi de façon inattendue par la justice russe, quatre jours après une condamnation à de la prison pour un concert donné dans la rue, a annoncé son avocat. Arrêté mercredi soir par la police pendant qu'il chantait sur le toit d'une voiture devant des dizaines de personnes à Krasnodar, dans le sud-ouest de la Russie, ce rappeur de 25 ans avait été condamné jeudi à 12 jours de prison pour "hooliganisme".
Très connu en Russie depuis deux ans, Husky, de son vrai nom Dmitri Kouznetsov, avait dénoncé avant son arrestation l'annulation de plusieurs de ses concerts, selon lui sous la pression des autorités. "Le tribunal (de Krasnodar) a pris en compte une demande des avocats de Husky et annulé sa peine de 12 jours de prison", a expliqué son avocat, Alexeï Avanessian, sur sa page Facebook. L'avocat a également posté un court document du tribunal dans lequel il est écrit que cette décision, inattendue, a été motivée par "des circonstances personnelles exceptionnelles".

Johnny Hallyday

Nouvelle étape dans la bataille autour de la succession de Johnny Hallyday: la justice devait se pencher mardi à Paris sur la demande de gel d'une partie des royalties liées aux albums du chanteur français dont le dernier, posthume, s'est écoulé à plus d'un million d'exemplaires. Ses deux aînés, Laura Smet et David Hallyday, demandent la suspension du versement de 75% des revenus découlant des ventes de disques de leur père désormais versés à sa veuve, Laeticia. Ils ont déjà obtenu dans une autre procédure le gel des droits d'auteur - les revenus tirés de la diffusion des titres du chanteur - et des propriétés françaises du musicien.
Cette nouvelle demande concerne notamment l'album posthume, "Mon pays c'est l'amour", qui s'est écoulé ces dernières semaines à plus d'un million d'exemplaires. Trois maisons de disques - Warner, Universal et Sony - étaient concernées par l'audience d’hier devant le juge des référés (urgence) du Tribunal de grande instance de Paris, à l'issue de laquelle la décision devrait être mise en délibéré.


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