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Whitney Houston est morte à 48 ans, noyée dans sa baignoire après avoir ingéré une importante quantité de cocaïne. Malgré une fin de carrière marquée par l’addiction à la drogue, elle reste comme l’une des grandes voix du R’n’B et de la musique populaire en général de ces trente dernières années. Deux documentaires récents ont levé le voile sur des aspects jusqu’ici tabou de la vie de celle qui fit ses gammes dans une chorale gospel de Newark (New Jersey). “Whitney” livrait des témoignages affirmant que Whitney Houston avait été agressée sexuellement durant sa jeunesse par une cousine beaucoup plus âgée qu’elle. Quant à “Whitney: Can I Be Me”, il évoquait la relation amoureuse de la chanteuse avec une autre femme, Robyn Crawford, qu’elle a cachée durant une bonne partie de sa vie adulte. “Je sais que l’histoire de Whitney Houston n’a pas encore été racontée dans sa totalité”, a estimé Clive Davis, dans une déclaration à Deadline. Le producteur a assuré que le scénario serait “sans tabou”, et “riche musicalement”.
La réalisatrice Stella Meghie, qui sera à la manoeuvre, s’est fait connaître en 2016 avec un premier film bien accueilli par la critique, “Jean of the Joneses” (2016), une comédie familiale à petit budget. Depuis, elle a réalisé trois autres longs métrages, souvent des comédies romantiques, dont “The Photograph”, sorti en février aux Etats-Unis.








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