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Dans une déclaration à la MAP, le réalisateur a affirmé l'existence d'une analogie entre l'histoire telle que racontée dans le film et celle du sacrifice qui évoque l'épreuve du Prophète Sidna Ibrahim. A travers ce court-métrage de 26 min, Mehdi Azzam essaie en effet d'aborder un phénomène social en y mêlant sa sensibilité personnelle. "Les gens sont traités dans leur propre pays comme du bétail", a-t-il confié, soulignant que ce phénomène "ne concerne pas uniquement le Maroc, mais il s'agit d'une tendance générale dans le monde". Lauréat de la première promotion de l'École supérieure des arts visuels de Marrakech, Mehdi Azzam a remporté plusieurs prix, dont le premier prix San Sebastian en 2008 pour son court-métrage "Le bal des suspendus" et le premier prix du Festival OMJA Paris en 2010 pour son court-métrage "Linge sale".
Rappelons enfin qu’outre "Bêlons", quatorze autres films dans la catégorie courts métrages et quinze dans la catégorie longs métrages, signés par des réalisateurs marocains de différentes générations, sont en lice pour décrocher les différents prix décernés aux meilleures productions cinématographiques nationales de l'année.