-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis

Le président des Etats-Unis en a fait une priorité après la mort, en décembre, de 20 enfants dans une école élémentaire de Newtown (Connecticut), mais le Congrès s’est opposé à ses projets, qui prévoyaient de restreindre la vente de certains types d’armes et de renforcer les procédures de vérification des antécédents des acheteurs.
Les partisans de la vente libre jugeaient ces mesures contraires au Deuxième Amendement de la Constitution des Etats-Unis, qui autorise à détenir des armes à feu.
«Nous avons livré une bonne bataille cette année, mais ça n’a pas été suffisant, il faut donc remettre ça», a déclaré samedi le locataire de la Maison blanche lors d’un dîner offert par la Congressional Black Caucus Foundation.
«Tant que certains lutteront pour aider des gens dangereux à mettre la main sur des armes, nous devrons travailler aussi dur que possible pour le bien de nos enfants (...)», a-t-il poursuivi sous les applaudissements.
Le contrôle des ventes d’armes est passé au second plan depuis la défaite parlementaire du début d’année, mais les fusillades de ces derniers jours ont relancé le débat.
Lundi dernier, un sous-traitant de la marine américaine a tué 13 personnes au Navy Yard de Washington avant d’être abattu par la police et, jeudi à Chicago, une fusillade a fait 13 blessés, dont un enfant de trois ans.