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Le président américain, dont c’est la première visite officielle en Israël, entend partir sur de nouvelles bases dans ses relations avec les Israéliens et avec les Palestiniens.
Barack Obama, qui est accompagné de son nouveau secrétaire d’Etat John Kerry, rencontrera le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Il est également attendu en Jordanie.
Le président, indique-t-on, tentera de persuader Israéliens et Palestiniens de reprendre les négociations de paix. Il cherchera aussi à rassurer Benjamin Netanyahu sur sa volonté d’empêcher l’Iran d’obtenir la bombe nucléaire. Le dossier de la guerre civile en Irak sera également évoqué.
Personne ne s’attend toutefois à ce que ce déplacement, étalé sur trois jours et soigneusement calibré pour être hautement symbolique, soit l’occasion d’avancées spectaculaires.
Il s’agit d’un revirement par rapport au premier mandat de Barack Obama. Ses conseillers disaient à l’époque que le chef de la Maison Blanche ne se rendrait en Israël que s’il y avait quelque chose de concret à réaliser.
Mercredi, Obama et John Kerry se sont entretenus avec Benjamin Netanyahu. L’Iran figurait en tête du menu des discussions.
Barack Obama, qui a dit qu’il était là pour écouter, se rendra aujourd’hui en hélicoptère à Ramallah en Cisjordanie pour y rencontrer le président Abbas.
Dans cette ville mardi, des affrontements ont eu lieu entre la police et des manifestants venus protester contre la visite de Barack Obama.