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Le chanteur Charles Aznavour a appelé mardi à offrir une "existence" aux migrants qui arrivent en France, défendant l'idée déjà exprimée au printemps de repeupler les villages avec ces nouveaux arrivants. "Ça me fait beaucoup de peine, beaucoup de mal, de voir ces gens qui défilent avec leurs enfants, perdus", a déclaré à l'AFP le chanteur de 91 ans, qui est né à Paris en 1924, de parents arméniens. "C'est une chose que je n'ai pas connue, mais je pense que mes parents ont dû vivre cette vie-là", a-t-il ajouté. "Il faut leur trouver une situation, il faut construire leur future existence", a-t-il poursuivi en rappelant son idée, exprimée au printemps, de repeupler les villages français avec ces nouveaux arrivants. "Il s'agirait de nourrir les villages de gens qui ont des professions différentes. Toutes les professions sont sur la route, sans exception, il y a des médecins, des boulangers, des garagistes...
Et à ce moment-là, on montrerait la France comme un modèle. On dirait: «Regardez, ils ont fait des villages». On pourrait rouvrir les écoles, rouvrir des postes", a-t-il souhaité. "Je suis très déterminé là dessus, il faut le faire!", a conclu l'auteur de "La Bohème". Il a également précisé ne pas avoir contacté d'élus ou de responsables politiques à ce sujet mais rappelé qu'il savait "solliciter", comme il l'avait fait en 1989 en chantant avec d'autres artistes une chanson pour l'Arménie, alors touchée par un important tremblement de terre.
Et à ce moment-là, on montrerait la France comme un modèle. On dirait: «Regardez, ils ont fait des villages». On pourrait rouvrir les écoles, rouvrir des postes", a-t-il souhaité. "Je suis très déterminé là dessus, il faut le faire!", a conclu l'auteur de "La Bohème". Il a également précisé ne pas avoir contacté d'élus ou de responsables politiques à ce sujet mais rappelé qu'il savait "solliciter", comme il l'avait fait en 1989 en chantant avec d'autres artistes une chanson pour l'Arménie, alors touchée par un important tremblement de terre.