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Le chanteur Aziz Sahmaoui a clos en beauté, dimanche soir à Mhamid El Ghizlane, la 7ème édition du Festival Taragalte placée sous le signe "Les oasis, source de vie au cœur du Sahara". Avec un style typiquement gnaoui, le chanteur marocain a enchanté les fans de ce genre musical en interprétant majestueusement des chansons très appréciées par le public.
Les morceaux chantés dans une bonne ambiance sur la nature, l’amour, la condition humaine, la femme, la guerre, la pauvreté, l’émigration et le chômage, ont été très applaudis par le public qui reprenait en chœur les refrains.
A la faveur d’instruments traditionnels et modernes, l'artiste a interprété des textes et joué des partitions musicales où le spirituel occupe une grande place.
La cérémonie de clôture a été également ponctuée de prestations d'autres artistes qui se sont relayés sur la scène pour interpréter des chants sur le patrimoine culturel africain, abordant la vie quotidienne dans les oasis, la famille, l'exode rural et les cérémonies de mariage, entre autres.
Cette soirée qui a offert un spectacle haut en couleur, a été également marquée par les prestations très applaudies des troupes musicales telles que "Drâa Tribes" de Zagora, "Amazigh Amadiaz Band" et le groupe français "Awek" qui a revisité avec magnificence de nombreux morceaux de la musique blues.
Initié par l'Association "Zaïla", le Festival Taragalte qui est unique en son genre au niveau national, a connu trois jours durant la participation de nombreux artistes comme la chanteuse marocaine "Oum", le groupe "Imerhan N’Tinezraf" (Algérie), "Tinariouine" et "Mali Kan" (Mali) qui ont interprété des chansons mettant en exergue notamment les conditions de vie et la réalité des populations oasiennes en Afrique.
Organisé du 28 au 30 octobre, le Festival Taragalte vise surtout à mettre en valeur le rôle vital des zones oasiennes en tant que creuset naturel des civilisations et d'échanges culturels.
Les morceaux chantés dans une bonne ambiance sur la nature, l’amour, la condition humaine, la femme, la guerre, la pauvreté, l’émigration et le chômage, ont été très applaudis par le public qui reprenait en chœur les refrains.
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