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Dans un entretien accordé récemment à nos confrères de L’Economiste, Mohammed Nadrani explique qu’il s’intéresse à trois moyens d’expression, à savoir « le dessin (image), l’écriture et l’image (photographie), avec un dénominateur commun: la mémoire. Comme vous devez le constater, tout est lié... Je n’arrive plus à imaginer des frontières entre ces trois disciplines ». Et d’ajouter : « Dans le documentaire, on y trouve, imbriqués, tous les genres, y compris le dessin d’animation, le texte, etc. Seulement je voudrais quand même préciser que la bande dessinée, c’est aussi une mise en scène des images dessinées racontant, par l’écrit, une histoire... Nous sommes toujours dans le documentaire, si on veut». Il convient de rappeler que Mohammed Nadrani qui était un ancien détenu politique a publié sa première bande dessinée « Les sarcophages du complexe » (Ed. Al Ayam) en 2005 et une autre bande dessinée «L’Emir Ben Abdelkrim».