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Les centrales en grève réclament, entre autres, «la réforme et la démocratisation des systèmes de retraite tout en gardant le même âge de retraite » ; «la révision du projet de loi de Finances 2011 marqué par les effets de la crise financière et basé sur l’approche macroéconomique et des mécanismes d’austérité, qui ne veut nullement le traitement de fond des questions sociales et économiques urgentes et prioritaires »; et «la révision du système de la promotion professionnelle». Des revendications qui s’ajoutent à d‘autres, à savoir, «la consolidation de la Caisse de compensation et le règlement des déficits financiers constatés par la création d’un impôt sur les grandes fortunes» ; «la révision du système fiscal national en particulier l’impôt sur le revenu et la réduction de celui-ci de 2% par an, avec l’exonération des salaires de 3600 DH par an et de la totalité des pensions de retraites » et «l’application immédiate des exigences du Code de la couverture médiatique de base dans sa partie relative au RAMED et sa généralisation sur tout le territoire national au 1er janvier 2011 ». Et ce n’est pas tout, d’autant que la liste des revendications est longue.
La grève d’aujourd’hui n’est qu’un début. D’après les syndicats, d’autres mouvements de protestation suivront dans les semaines à venir si le gouvernement ne fait pas preuve de bonne foi en satisfaisant ne serait-ce qu’une partie de leurs revendications avant la fin d’année.







