
-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis
D’autres sources ont attribué les explosions à une voiture piégée, mais une autre a rapporté que deux roquettes avaient été tirées vers l'ambassade, située dans le sud de la capitale libanaise.
On ne savait pas dans l'immédiat si l'ambassadeur ou des diplomates figuraient parmi les victimes. Personne n'était joignable à l'ambassade.
Les images diffusées par les chaînes locales de télévision montraient des cadavres calcinés sur le sol, et les restes enflammés de plusieurs véhicules. Plusieurs bâtiments ont été endommagés.
L'attaque n'a pas été revendiquée, mais en Syrie, un pays frontalier, les rebelles majoritairement sunnites contre le président Bachar al Assad ont menacé de s'attaquer aux alliés chiites de Damas, notamment l'Iran et le Hezbollah libanais.
Le Hezbollah, particulièrement implanté dans le sud de Beyrouth, où trois autres attentats ont été menés depuis le début de l'année, s'est engagé à combattre aux côtés de Damas aussi longtemps que nécessaire.
Le conflit syrien a aussi alimenté une crise politique majeure au Liban. Le Premier ministre, Najib Mikati, a démissionné en mars, mais aucun gouvernement n'a pu être formé depuis.