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Diffusé actuellement dans les salles obscures du Québec, le film ouvre une nouvelle page du parcours professionnel de l’artiste marocain, aux côtés notamment de sa compatriote Houda Rehani. Inspirée d’une expérience personnelle du réalisateur Claude Gagnon, “Les vieux chums” a été produit par “Objectif 9” à Saint-Hyacinthe au Québec et au Maroc. Il est actuellement diffusé dans plus d’une cinquantaine de cinémas dans la province canadienne. Le film, qui se veut un hymne à l’amitié, relate l’histoire de Pierrot (Patrick Labbé ), atteint d’un cancer en phase terminale, qui décide de faire ses adieux à sa manière aux êtres qui lui sont chers.
De retour dans sa ville natale Saint-Hyacinthe, il retrouve son ami Jacques (Paul Doucet) qui l’accompagnera dans son périple au Maroc où il a vécu pendant plusieurs années. «Les vieux Chums est mon premier film au Québec. Je joue le rôle d’Abdel, un ex-professeur de philosophie qui a fait le choix de s’installer dans un village de pêcheurs pour apprendre des pêcheurs la façon de voir la vie. C’est dans ce village qu’il a fait la connaissance de son ami québécois. L’amitié va durer trop longtemps», a déclaré Hassan El Fad à la MAP. Houda Rehani incarne le rôle de Amina, l’épouse de pierrot qui revient juste pour faire ses adieux. L’actrice se dit fière des séquences tournées dans le village Imswan au nord d’Agadir, mettant en valeur “la beauté et le potentiel de notre pays” de même qu’elle “rend hommage à cette partie du Maroc».
A l’occasion de la projection du long-métrage au Canada, ses producteurs Bahija Soussi et Samuel Gagnon n’ont pas manqué de saluer la collaboration marocaine dans les différentes phases de production du film.
Parution

La fondation du Mouloudia Club d’Oujda (MCO) était porteuse d’une dimension politique du football, dans le contexte d’un Maroc colonisé, lit-on sur l’introduction. Ainsi, la population “indigène” d’Oujda, qu’elle soit marocaine ou algérienne, était dans la nécessité de créer un club de football, car elle était en retrait de toute participation sportive et indépendante. L’ouvrage est composé de six parties, le cosmopolitisme colonial, prologues “indigènes”, l’épopée verte MCO, autres points culminants du football à Oujda, mémoire collective fertile, et talentueux footballeurs français natifs d’Oujda. S’agissant de la structure bibliographique, l’auteur a cité les archives françaises, les journaux et revues, et les livres. L’auteur Badr Maqri est un chercheur et professeur de l’enseignement supérieur à la faculté des lettres et des sciences humaines à l’Université Mohammed Premier d’Oujda.