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"Ces deux personnes ont été interpellées en raison de leurs liens présumés avec différentes personnes citées dans le dossier", a expliqué dans un communiqué le parquet fédéral. "Ni arme ni explosif n'ont été découverts" lors de ces deux perquisitions.
Le juge d'instruction chargé du dossier décidera dans le courant de la journée de leur inculpation et de leur placement en détention provisoire, selon la même source.
La première perquisition a eu lieu mercredi après-midi chaussée de Gand, l'une des principales artères de Molenbeek. "Une personne a été privée de liberté. Il s'agit de Zakaria J., né en 1986, de nationalité belge", selon le communiqué.
Lors de la seconde perquisition, effectuée jeudi matin, "une autre a été privée de liberté. Il s'agit de Mustafa E., né en 1981, de nationalité marocaine", a indiqué le parquet fédéral.
L'enquête menée en Belgique a permis de démanteler une partie du réseau qui a aidé l'un des participants présumés aux attentats, Salah Abdeslam, à rentrer en Belgique puis à disparaître. Elle a aussi permis de découvrir trois caches ayant servi à préparer les attaques.
Depuis les attentats du 13 novembre, dix hommes ont été inculpés en Belgique. Neuf d'entre eux sont encore incarcérés.
L'un d'eux avait loué un véhicule repéré à proximité des trois caches. Un autre a eu des contacts téléphoniques après les attentats avec la cousine du jihadiste belge Abdelhamid Abaaoud, l'organisateur présumé des attaques. Tous deux sont morts dans l'assaut d'un appartement à Saint-Denis (banlieue nord de Paris) le 18 novembre.
Quatre hommes sont encore recherchés, dont Salah Abdeslam, qui a convoyé les kamikazes du Stade de France, et Mohamed Abrini, soupçonné d'avoir au moins participé aux repérages. Comme Abdelhamid Abaaoud, ils sont originaires de Molenbeek.







