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			 Le régime a donné son accord de principe pour participer à cette conférence initiée par Washington et Moscou, mais l'opposition a exigé au préalable le départ du président Bachar Al-Assad et l'arrêt des combats, particulièrement ceux impliquant le Hezbollah libanais aux côtés de l'armée à Qousseir.
Après quelques semaines de répit dans les attentats à la voiture piégée à Damas, une attaque de ce type a frappé le matin le quartier de Jobar, dans l'est de la capitale syrienne, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
"Au moins neuf membres des forces du régime ont été tués après une forte explosion provoquée par une voiture piégée près d'un commissariat de police", a déclaré à l'AFP le chef de l'OSDH, Rami Abdel Rahmane.
L'attentat, qui n'a pas été revendiqué, ressemble aux nombreuses attaques similaires perpétrées par les jihadistes du Front al-Nosra, fer de lance des rebelles qui a fait allégeance à Al-Qaïda, a précisé l'OSDH.
L'agence officielle syrienne Sana a confirmé l'explosion d'une voiture piégée, mais sans donner d'autres précisions.
Des combats intenses se déroulaient entre armée et rebelles dans le même quartier, a ajouté l'OSDH, qui s'appuie sur un vaste réseau de militants et de sources médicales civiles et militaires.
Après avoir reçu de nouveaux renforts à Qousseir, les troupes du régime appuyées par les combattants du Hezbollah resserraient davantage l'étau autour des rebelles, désormais retranchés dans le nord de la ville proche de la frontière libanaise, a précisé l'OSDH.
L'armée et le Hezbollah ont lancé le 19 mai l'assaut contre cette ville, longtemps place forte de la rébellion, qu'ils cherchent à prendre pour ouvrir un passage sûr entre Damas et le littoral syrien, base arrière du régime.







