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Ces revendications ont été présentées dans un document de six points sur la réforme et le développement du secteur cinématographique, soumis au ministre de la Communication, Mustapha El Khalfi, dans une réunion tenue lundi à Rabat.
Un communiqué de l'ACC souligne la nécessité de la présence d'une volonté politique chez le gouvernement pour développer le septième art non seulement au niveau de la production, mais aussi aux niveaux de la distribution, de la consommation et de la diffusion de la culture cinématographique, et mettre en oeuvre la convention-cadre signée entre l'Etat et les professionnels autour de la vision future du cinéma marocain à l'horizon 2025.
Elle a également appelé à "accorder une grande importance au contenu des rapports de la Cour des comptes afin de remédier aux dysfonctionnements, développer le rôle du Centre cinématographique marocain et impliquer le ministère de la Culture dans le chantier cinématographique".
La réunion s'est penchée également sur la nécessité de considérer les critiques cinématographiques comme acteurs principaux du développement du secteur au Maroc, en créant les conditions à même de développer la critique à travers les médias, la promotion de l'écriture du scénario et la création d'espaces de discussion des films et sujets liés au cinéma dans les festivals.
Il a été aussi convenu de la signature prochaine d'une convention de partenariat entre le ministère de la Communication et l'ACC relative au soutien apporté par le ministère à la promotion de la critique cinématographique, ainsi que de la tenue d'une journée d'étude sur ce sujet.