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Abdelilah Assoul s’est rendu sur les lieux après avoir eu des informations indiquant que les forces de l’ordre ont procédé à la démolition inopinée des maisons et baraques se trouvant sur le trajet du tramway. A son arrivée, il a constaté que les agents étaient en train de violenter et frapper deux habitants qui s’opposaient à la destruction de leurs logements.
Assoul est allé interroger les victimes de cette intervention musclée. En faisant son travail, il a été surpris par un coup de poing violent sur le visage. Son agresseur n’était autre que le mokadam du quartier Douar Ejdid. Après cet incident, le journaliste fut emmené au commissariat. L’enquête a duré environ une demi-heure avant qu’il soit libéré.
Il est à signaler également que plusieurs citoyens slaouis du Douar Ejdid près du marché (souk El Kelb) ont été battus brutalement et embarqués au commissariat après avoir refusé de quitter leurs baraques.
Les forces de l’ordre n’ont pas, seulement, recouru à la violence physique contre les citoyens, tout en saccageant les portables pour empêcher les gens de prendre des photos.
Ils ont insulté vulgairement ceux et celles qui se sont rassemblés pour témoigner de cette affaire.