-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
D’une durée de 104 mn, le film qui reprend à son compte un mythe et dont les premiers rôles ont été interprétés par Majdouline Idrissi, Saadia Ladib et Driss Roukh, présente dans un style complexe, l’histoire d’une psychiatre qui devait faire parler Rihana qui a longtemps vécu sous l’identité d’un garçon nommé Mehdi. La jeune Rihana croit, dur comme fer, qu’elle est enceinte d’un saint imaginaire, et se trouve vers la fin confrontée à un sort cruel. La mise en scène entend expérimenter les contes, l’imaginaire, les croyances populaires, le tout à la faveur d’une force de l’expression et d’un penchant artistique quelque peu nouveau pour un film marocain.
Bien avant «Pégase», Mohamed Mouftakir avait réalisé quatre courts-métrages, en l’occurrence «Chant funèbre», «Danse du fœtus», «L’ombre de la mort» et «Fin de mois», souvent distingués lors des rencontres nationales.