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Privée d’eau, de nourriture, de médicaments et du droit le plus élémentaire de se déplacer hors des camps, la population ne sait plus à quel saint se vouer, au moment où les notables du Polisario et leurs proches se réfugient dans leurs résidences dans la ville algérienne de Tindouf, ainsi qu’en Mauritanie et en Espagne.
Malgré les mises en garde et les appels incessants des ONG internationales attirant l’attention des donateurs et de la communauté internationale sur le niveau préoccupant de précarité et de malnutrition dans les camps, les réactions se font toujours attendre. Les détournements de ces aides par les chefs du Polisario avec la complicité de responsables algériens dévoilés par l’Office européen de lutte anti-fraude (OLAF) et le refus de l’Algérie de procéder au recensement des populations comme réclamé par l’ONU, sont à l’origine de la réduction, sinon de la suspension de ces aides.
Devant cette situation inhumaine, les populations, tentant d’exprimer leur colère, recourent à des marches et manifestations pacifiques que la vindicative milice du Polisario réprime avec violence.