"L'obstacle semble être pour le moment l'Afrique du Sud", a indiqué M. Fox. "Ils disent que cela reviendrait à prendre position en faveur d'un camp" . "Nous devons leur dire qu'il est très clair que le peuple libyen a pris position en faveur d'un camp, ils sont du côté de la liberté et de la capacité à déterminer leur propre avenir, et il n'y a pas si longtemps, en Afrique du Sud, le peuple demandait à la communauté internationale de venir à son secours contre l'apartheid", a-t-il souligné.
"J'espère que le gouvernement sud-africain va reconnaître que le peuple libyen a effectivement pris position pour sa liberté, et que nous pourrons obtenir le soutien dont nous avons besoin pour débloquer les actifs, qui sont indispensables au Conseil national de transition pour reconstruire la Libye". Le Royaume-Uni et la France ont joint mercredi leurs efforts diplomatiques, aux Nations unies notamment, afin de débloquer certains des actifs libyens gelés pour les remettre à la rébellion.