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L’avocate de la grande star du rock français, Me Virginie Lapp, avait demandé le 21 décembre au juge des référés du tribunal de Paris, Catherine Cosson, de “procéder à la désignation d’un collège d’experts” composé d’au moins un neurochirurgien et un infectiologue, afin de “procéder à l’examen médical” de son client.
La juge a rendu sa décision lundi, qualifiée par l’avocate d’”étape importante pour Johnny Hallyday qui s’estime victime d’une erreur médicale”.
Me Lapp a indiqué à la presse, après avoir pris connaissance de la décision de la juge, qu’elle avait “obtenu une ordonnance de désignation d’experts, un infectiologue et neurochirurgien” qui disposeront de “plusieurs mois” pour définir “d’éventuelles responsabilités” dans l’état de santé du chanteur.
Johnny Hallyday, 66 ans, a passé 16 jours à l’hôpital Cedars-Sinaï de Los Angeles pour une infection consécutive à l’opération d’une hernie discale le 26 novembre à Paris. Il a dû être réopéré par les médecins américains et plongé dans un coma artificiel afin d’atténuer ses souffrances.
Le neurochirurgien français, Stéphane Delajoux, qui avait opéré le chanteur fin novembre à Paris, n’était pas opposé à la désignation d’experts. Considéré comme le “médecin des stars” mais aussi comme un praticien controversé, le chirurgien s’est retrouvé la cible de vives attaques sur la façon dont Johnny Hallyday avait été soigné.
“J’ai frôlé et côtoyé la mort. C’est pour ça que je veux savoir la vérité”, avait écrit Johnny Hallyday le 20 décembre au juge.