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Dans "Rogue One: A Star Wars Story", elle incarnait Jyn Erso. Dans "Une femme d'exception", l'actrice britannique Felicity Jones interprète une autre héroïne, bien de notre temps celle-ci: la juge américaine Ruth Bader Ginsburg, doyenne de la Cour suprême américaine, devenue une icône progressiste aux Etats-Unis.
En salles mercredi en France, et depuis mardi aux Etats-Unis, ce film sort alors que la santé de la juge américaine est au coeur de l'attention médiatique: âgée de 85 ans, la doyenne de la Cour suprême américaine vient de se faire opérer pour des nodules cancéreux au poumon. Les démocrates craignent qu'elle ne doive quitter son poste pour être remplacée par un juge républicain nommé par Donald Trump.
"Une femme d'exception" ("On the Basis of Sex") raconte la jeunesse de celle que l'on surnomme aujourd'hui "Notorious RBG". Réalisé par Mimi Ledder, ce film à la mise en scène classique retrace le début de sa carrière, depuis ses difficiles années d'études dans les années 50 à Harvard, où les femmes étaient très rares. Jeune diplômée en droit, elle frappe ensuite sans succès à la porte des cabinets d'avocats new-yorkais. C'est en acceptant une affaire fiscale avec son mari Martin (Armie Hammer) qu'elle va poser les premiers jalons de ce qui deviendra son grand combat: la lutte contre les discriminations sexuelles.
Interpréter cette figure américaine "était un grand défi à relever", a expliqué Felicity Jones à l'AFP à Paris: "C'est une telle icône", a ajouté l'actrice britannique de 35 ans, qui dit avoir été "un peu nerveuse au départ" à l'idée de l'incarner, avant d'être "mise à l'aise" par la juge, qu'elle a rencontrée. "J'ai passé du temps chez elle, et elle m'a montré des photos de sa famille. Nous avons appris à nous connaître de façon plus personnelle", a raconté la comédienne, pour qui "quand on joue quelqu'un, tout est dans les détails".
En salles mercredi en France, et depuis mardi aux Etats-Unis, ce film sort alors que la santé de la juge américaine est au coeur de l'attention médiatique: âgée de 85 ans, la doyenne de la Cour suprême américaine vient de se faire opérer pour des nodules cancéreux au poumon. Les démocrates craignent qu'elle ne doive quitter son poste pour être remplacée par un juge républicain nommé par Donald Trump.
"Une femme d'exception" ("On the Basis of Sex") raconte la jeunesse de celle que l'on surnomme aujourd'hui "Notorious RBG". Réalisé par Mimi Ledder, ce film à la mise en scène classique retrace le début de sa carrière, depuis ses difficiles années d'études dans les années 50 à Harvard, où les femmes étaient très rares. Jeune diplômée en droit, elle frappe ensuite sans succès à la porte des cabinets d'avocats new-yorkais. C'est en acceptant une affaire fiscale avec son mari Martin (Armie Hammer) qu'elle va poser les premiers jalons de ce qui deviendra son grand combat: la lutte contre les discriminations sexuelles.
Interpréter cette figure américaine "était un grand défi à relever", a expliqué Felicity Jones à l'AFP à Paris: "C'est une telle icône", a ajouté l'actrice britannique de 35 ans, qui dit avoir été "un peu nerveuse au départ" à l'idée de l'incarner, avant d'être "mise à l'aise" par la juge, qu'elle a rencontrée. "J'ai passé du temps chez elle, et elle m'a montré des photos de sa famille. Nous avons appris à nous connaître de façon plus personnelle", a raconté la comédienne, pour qui "quand on joue quelqu'un, tout est dans les détails".