-
Rencontre sur "La langue arabe et les défis de la numérisation"
-
Samir Addahre : Le caftan, un marqueur fondamental de l'identité culturelle marocaine
-
Langues et savoirs : Entre hégémonie linguistique et diversité cognitive
-
Mise en exergue de la splendeur de l’écriture des Sultans du Maroc et ses fonctions civilisationnelles
Jouée sur la planche du Théâtre «El Hamra» à Tunis, l’occasion s’est donc présentée à la troupe marocaine pour raconter l’histoire d’une jeune femme atteinte de cancer avec «un cri de souffrance dans le corps et dans l’âme, rendu plus intense par le regard de l’autre, le partenaire, qui tourne le dos à un corps touché par la maladie mais toujours assoiffé de plaisir de la vie», souligne le critique Ahmed Badry.
La pièce offre un spectacle émouvant, caractérisé par un sentiment de souffrance, d’injustice, de rejet social et d’indifférence. Une situation que vivent beaucoup de personnes atteintes de cancer dans notre société et au nom desquelles parle la pièce, et en particulier la metteuse en scène, qui a su s’introduire dans les dédales de l’âme souffrante…
«La pièce a été chaleureusement accueillie par le public des JTC», nous a confié l’un des fondateurs de la troupe, Rachid Bromi. «Cela a été confirmé par les interventions des critiques, artistes et férus des planches lors du débat ouvert après la présentation», a-t-il ajouté.
Il faut dire que s’il y a une touche artistique dans un travail pareil, c’est parce que l’équipe compte des talents polyvalents, comme Issam Lyousfi et Rachid Bromi.
Rappelons enfin qu’Asmae et son équipe avaient remporté cinq prix pour une autre pièce intitulée «Khal layoun», et l’on ne sera pas étonné de la voir en rafler d’autres, à Tétouan, où la pièce est sélectionnée dans un autre festival, prévu pour cette fin de mois.










Rencontre sur "La langue arabe et les défis de la numérisation"

