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Le titre "Ram Setu" fait référence au nom tamoul du pont d'Adam, ce long banc de sable qui relie la côte sud-est de l'Inde au nord-ouest du Sri Lanka dans l'Océan Indien. Selon l'épopée mythologique hindoue "Ramayana", ce passage naturel aurait été bâti par une armée de singes guerriers pour aiderle dieu hindou Ram à se rendre au Sri Lanka. "Je suis impatient de raconter l'histoire d'une partie importante du patrimoine indien, en particulier aux jeunes", a déclaré, selon le communiqué, Akshay Kumar, l'acteur indien le mieux payé au monde, selon le classement de Forbes en 2020.
Les services de streaming ont gagné en popularité en raison de la pandémie de Covid-19, car les Indiens, férus de cinéma, se sont tournés vers les applications pour se divertir, les salles obscures ayant été fermées pendant plus de six mois l'an dernier. Amazon, qui investit déjà beaucoup en Inde notamment dans le cadre de son activité principale de commerce électronique, avait été contraint après la diffusion de sa série politique indienne "Tandav" d'y "apporter des modifications" après des plaintes de politiciens du BJP, parti nationaliste hindou au pouvoir. Ils avaient jugé que les dieux hindous y étaient moqués. Toute la production avait auparavant dû présenter ses excuses, après avoir été prévenue par le ministère de l'Information et de la Radiodiffusion qu'"un grand nombre de plaintes et de pétitions (...)" affluait contre la série.
Les principales plateformes de streaming telles que Netflix, Amazon et Disney's Hotstar ont accru leur présence dans le pays de 1,3 milliard d'habitants, notamment en commandant la production de contenus locaux avec des célébrités de Bollywood. Les services de streaming ne sont pas soumis aux commissions de censure, notoires pour leurs fréquentes coupes dans les programmes. Mais de plus en plus de requêtes, émanant notamment de membres du BJP, exigent que ces services soient soumis au même contrôle.
Et en vertu de nouvelles directives controversées, annoncées le mois dernier, les plateformes de diffusion en continu seront bientôt obligées de retirer les contenus jugés répréhensibles 36 heures après qu'une plainte aura été formulée.