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La projection de "Aïda" a été l'occasion de rapprocher le public rwandais du 7ème art marocain et de mettre en avant la richesse culturelle du Maroc ainsi que sa longue tradition de tolérance et de cohabitation pacifique entre les différentes cultures et religions.
Le film, qui avait représenté le Maroc dans la catégorie "meilleur film étranger" aux Oscars en 2016, relate l’histoire de Aïda Cohen, Marocaine de confession juive et professeur de musique à Paris, qui, en apprenant qu'elle est atteinte d'une tumeur maligne, décide d’effectuer un retour à la ville d’Essaouira pour se ressourcer de ses souvenirs d'enfance. Les retrouvailles de Aïda avec son ami d'enfance, Youssef, qui souffre également d'un stress qui le terrasse, leur rendent la joie de vivre grâce à la reprise de leurs anciennes activités musicales au sein d’un orchestre de musique andalouse. Mais le destin en a décidé autrement, car Aïda meurt subitement malgré l’espoir que lui ont donné les médecins d’une rémission de sa tumeur.
S’exprimant à cette occasion, Ahmed Belhadj, chargé d'affaires de l'ambassade du Maroc à Kigali, a souligné que cette œuvre reflète, à travers un style artistique expressif, la coexistence pacifique et le dialogue des civilisations au Maroc. Ce long métrage, a-t-il dit, illustre l’image du Maroc pluriel et tolérant, ajoutant que le film décline une série de messages sur les questions universelles d’amitié, d’amour et d’espoir.
Sous-titré en français, le film a envoûté le public présent composé d'universitaires, d'étudiants et de membres de la communauté marocaine établie au pays des mille collines.