-
Félix Tshisekedi: L'accord de paix entre la RDC et le Rwanda ouvre la voie à une nouvelle ère de stabilité
-
Le sud de l'Europe étouffe sous une chaleur sans répit
-
Cessez-le-feu: L'Iran exprime de "sérieux doutes" quant au respect des engagements d'Israël
-
Le grand-père de la future patronne du MI6 était espion pour les Nazis
Le gouvernement des Maldives n’est pas impliqué dans ces discussions, les deuxièmes organisées sur cet archipel de l’océan indien, a précisé cette source.
Des représentants du président Hamid Karzai doivent rencontrer plusieurs membres étroitement liés aux talibans pour évoquer une réconciliation nationale, selon Mohammed Zuhair, porte-parole du bureau du président des Maldives, Mohammed Nasheed.
Selon ce porte-parole, aucun obstacle légal ne s’oppose à l’entrée des hommes liés aux talibans sur le territoire des Maldives, leurs noms ne figurant pas sur les listes noires internationales concernant les déplacements de personnes établies notamment par les Nations unies.
En janvier, des émissaires du président Karzaï avaient rencontré au moins sept hommes liés aux talibans pour évoquer une réconciliation nationale avant la conférence de Londres sur l’Afghanistan le 28 janvier.
Lors de la conférence de Londres, une des plus importantes jamais organisées sur l’Afghanistan, le président Karzaï a réussi à réunir près de 70 pays qui adhèrent à sa stratégie de la « main tendue » aux insurgés repentis, en pariant sur le fait qu’un certain nombre déposerait les armes en échange d’argent et d’un travail.
Les talibans ont cependant critiqué la conférence de Londres comme une perte de temps et un outil de propagande.