-
Les initiatives du Maroc louées sur les plans régional et multilatéral
-
Rejet total des plans séparatistes visant à porter atteinte à la souveraineté des États
-
Le Sommet de l’OCI salue le rôle de SM le Roi dans le soutien à la cause palestinienne
-
Focus sur l’importance du dispositif juridique de la presse dans la consolidation de la profession
-
Seul Alger semble concerné. Une pseudo-conférence médiatique pour une quelconque solidarité avec les pantins du polisario se passe dans l’indifférence totale
Selon la plaignante, l’affaire remonte au vendredi 18 septembre 2009, lorsque son fils Zyad Feddi a été touché par un cartable à roulettes appartenant à un autre élève, lors de la sortie des classes. Accompagnée de son mari, Mme. Akhnouch aurait demandé explication à la direction de l’établissement sur les raisons de cet incident, soutenant que son fils a été à plusieurs reprises victime de mauvais traitements de la part d’autres élèves. Et toujours selon Sanaa Akhnouch, M. Elhafiri a refusé catégoriquement d’entendre sa plainte et l’aurait obligée à quitter son bureau, avant de la pousser violemment, ajoute-t-elle, jusqu’à la porte de sortie de l’école.
Pour Mehdi Elhafiri, cette version des faits est fausse et erronée. Elle est truffée de contradictions et de contre-vérités, car, selon lui, ce jour-là, il était en réunion de travail avec l’ensemble des responsables de l’établissement, avant d’être surpris par l’arrivé brutale des parents de Zyad furieux. «Ils parlaient fort et de façon désagréable», a-t-il précisé, avant d’ajouter qu’il a tenté de les calmer en les invitant à venir en discuter dans son bureau. Mais «vu l’état d’énervement des parents, la discussion n’a pas abouti. Ils ont quitté le bureau en disant qu’ils allaient retirer leur enfant de l’école» et que «cet établissement sera à coup sûr fermé à jamais». Le président du groupe scolaire « la Résidence» a noté, par ailleurs, que l’enfant Zyad ne présente ni blessure, ni hématome et l’affaire ne mérite pas toute cette agitation.
Plusieurs témoignages corroborent la version des faits du président de « la Résidence », précisant que celui-ci a su garder son calme et qu’à aucun moment, il n’a usé de quelque agressivité que ce soit.