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Ce sont des "insinuations" et « accusations odieuses», a réagi lundi l'actuel ministre de l'Intérieur, Claude Guéant. "La justice américaine, chacun le sait, est totalement indépendante" , a ajouté l'ancien bras droit de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, écartant toute possibilité de manipulation venant de France.
Le ministre a confirmé que l'information de l'arrestation de DSK avait été annoncée dans la nuit du 14 au 15 mai par le coordonnateur national du renseignement à la présidence française, Ange Mancini, mais sans préciser d'où il tenait ses informations. Le ministre a toutefois jugé "absolument normal" qu'un groupe hôtelier français avertisse les autorités de l'arrestation d'une "personnalité mondiale" de nationalité française. Selon une source proche du dossier, c'est le groupe Accor qui a prévenu M. Mancini. Mais le groupe hôtelier a nié "formellement" dimanche toute intervention. De leur côté, les poids lourds du Parti socialiste se montrent prudents sur ce volet de l'affaire. "Je préfère parler de piège plutôt que de complot", a dit dimanche le député Pierre Moscovici, proche de DSK.