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Lundi, au premier jour du marathon des primaires américaines, au cours duquel les partisans des partis démocrate et républicain devront choisir leur candidat respectif à la présidentielle de novembre, Adele s'est dissociée du candidat Trump sans le nommer. «Adele n'a pas donné son autorisation à l'usage de ses chansons dans des rassemblements politiques», a souligné dans un communiqué le porte-parole de l'artiste qui a atteint le plus rapidement le milliard de vues sur YouTube avec sa ballade romantique "Hello", un clip réalisé par le cinéaste québécois Xavier Dolan.
La chanteuse avait déjà fait état de ses sympathies envers le Labour, le grand parti de centre-gauche britannique, mais s'est aussi prononcée contre des impôts trop élevés pour les riches depuis qu'elle a connu la gloire, une mesure aussi décriée sur la scène américaine par Donald Trump.
Aux Etats-Unis, la classe politique, et plus souvent la droite, a souvent été critiquée pour jouer des œuvres musicales lors de ses rassemblements sans le consentement des artistes concernés. Plus tôt dans la course à l'investiture républicaine, Donald Trump avait d'ailleurs utilisé «Rockin' in the Free world» de Neil Young et «It's the world as we know it» du trio REM, suscitant l'ire de ces artistes qui ne veulent pas être associés, de près comme de loin, à sa campagne.