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Libé: Vous venez d'organiser la première édition du Festival du tourisme saharien. Quels sont vos objectifs ?
Abdessalem Sadouq: L'animation artistique a toujours été un axe principal dans le travail promotionnel, mais il faut dire que nous visons aussi à créer un peu d'animation pour semer la joie parmi les habitants, car en fin de compte, nos établissements touristiques se trouvent dans un village à promouvoir aussi, sur le plan culturel.
Quelles sont vos promesses pour la deuxième édition ?
Il y a d'abord l'enrichissement du menu artistique avec des artistes de renom, mais on pense aussi programmer une conférence autour du thème du tourisme du désert. Ceci dit, l'organisation sera davantage professionnelle et le programme plus riche et varié.
Quels sont les fondements du tourisme de désert ?
Avant tout, la présence de la donne environnementale reste indispensable. Nous vivons de ces dunes, de ce désert; donc nous sommes contraints de le protéger et le préserver. Imaginez le nombre de postes d'emploi qu'il permet. Des guides, des gîteurs, aubergistes, chameliers, randonneurs, restaurateurs, bazaristes et autres métiers afférents qui montrent que le désert est une source de développement.
Abdessalem Sadouq: L'animation artistique a toujours été un axe principal dans le travail promotionnel, mais il faut dire que nous visons aussi à créer un peu d'animation pour semer la joie parmi les habitants, car en fin de compte, nos établissements touristiques se trouvent dans un village à promouvoir aussi, sur le plan culturel.
Quelles sont vos promesses pour la deuxième édition ?
Il y a d'abord l'enrichissement du menu artistique avec des artistes de renom, mais on pense aussi programmer une conférence autour du thème du tourisme du désert. Ceci dit, l'organisation sera davantage professionnelle et le programme plus riche et varié.
Quels sont les fondements du tourisme de désert ?
Avant tout, la présence de la donne environnementale reste indispensable. Nous vivons de ces dunes, de ce désert; donc nous sommes contraints de le protéger et le préserver. Imaginez le nombre de postes d'emploi qu'il permet. Des guides, des gîteurs, aubergistes, chameliers, randonneurs, restaurateurs, bazaristes et autres métiers afférents qui montrent que le désert est une source de développement.