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Doukkali souligne qu’il s’agit là, d’un travail de longue haleine sur lequel il a travaillé pendant des mois ; dix fois plus que d’habitude, car il s’agit d’un style différent et d’une approche différente du fait qu’il reprend des poèmes de grands soufis, donc pleins de langage mystique et de symboles. Une sélection s’imposait donc pour choisir les textes. Et comme le chiffre sept semble béni, Doukkali a retenu des poèmes de sept soufis, dont Omar Khayyam, Ibn Arabi et El Boussairi. Mais comme les poèmes sont composés de centaines de vers, il n’en a retenu que 10 ou 14 pour chaque chanson.
Doukkali souhaite, à travers ce spectacle, ouvrir une nouvelle voie que ce soit pour les artistes marocains ou étrangers.
Il faut donc s’attendre à un grand succès comme cela a toujours été le cas pour cet artiste qui montre, une fois de plus, le chemin à suivre surtout en ces temps de décadence de la chanson et aussi de l’esprit.








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