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Dans la cadre du cycle des conférences et débats organisés par la Fondation ONA, les lecteurs francophones auront droit à une rencontre inédite avec le poète, nouvelliste et romancier français résidant au Maroc. Organisée en collaboration avec le CCLMC, cette rencontre aura lieu vendredi 12 juin 2009 à la Salle Qantara à la Villa des Arts de Rabat à partir de 18h30. Elle sera présentée par Al Mostapha Bouignane. Cette rencontre est une manière de rendre hommage à cet écrivain pour le travail souterrain et discret qu’il fait pour encourager les jeunes créateurs et promouvoir la littérature marocaine d’expression française.
Né en 1932 à Casablanca. Poète, nouvelliste et romancier «français du Maroc» ou «pied noir» Atlantique comme il aime se définir lui-même. Agrégé de lettres classiques, brillant helléniste et latiniste, il a traduit Sophocle et Sénèque. Il a obtenu le Prix du Maroc de poésie en 1947 pour un poème paru dans la Vigie Marocaine. Intellectuel engagé politiquement.
Il a été l’un des signataires de «la motion des 481 Français» exigeant l’indépendance immédiate et sans condition de l’Algérie, ce qui lui a valu d’être radié de la fonction publique française. Il a choisi de rester au Maroc où il a exercé le métier d’enseignant grâce à une autorisation de Mohamed V. Et depuis sa retraite, il se consacre exclusivement à l’écriture. Il dirige la revue annuelle Agora et encourage les jeunes écrivains à publier leurs romans et nouvelles, comme c’est le cas dans Côté Maroc (avec ses 7 tomes) qu’il a dirigé. Il a à son actif de nombreux ouvrages : Nous l’appellerons Mehdi (roman, 1994, Prix Grand Atlas), Des pruneaux dans le tagine (1995), Pas de visa pour le paradis d’Allah (1997), L’inspecteur Kamal fait chou blanc (1998), La cavale assassinée (1998), Rapt à Inezlane (2001), C’est ça que Dieu nous a donné (2003), Ptolémée de Maurétanie, Le dernier Pharaon avec Josiane Lahlou (2005), Dalal, mon amour, (2006), Anthologie de la poésie de langue française au Maroc (2005), Argaz Izgan ou L’homme immobile (2008).
Né en 1932 à Casablanca. Poète, nouvelliste et romancier «français du Maroc» ou «pied noir» Atlantique comme il aime se définir lui-même. Agrégé de lettres classiques, brillant helléniste et latiniste, il a traduit Sophocle et Sénèque. Il a obtenu le Prix du Maroc de poésie en 1947 pour un poème paru dans la Vigie Marocaine. Intellectuel engagé politiquement.
Il a été l’un des signataires de «la motion des 481 Français» exigeant l’indépendance immédiate et sans condition de l’Algérie, ce qui lui a valu d’être radié de la fonction publique française. Il a choisi de rester au Maroc où il a exercé le métier d’enseignant grâce à une autorisation de Mohamed V. Et depuis sa retraite, il se consacre exclusivement à l’écriture. Il dirige la revue annuelle Agora et encourage les jeunes écrivains à publier leurs romans et nouvelles, comme c’est le cas dans Côté Maroc (avec ses 7 tomes) qu’il a dirigé. Il a à son actif de nombreux ouvrages : Nous l’appellerons Mehdi (roman, 1994, Prix Grand Atlas), Des pruneaux dans le tagine (1995), Pas de visa pour le paradis d’Allah (1997), L’inspecteur Kamal fait chou blanc (1998), La cavale assassinée (1998), Rapt à Inezlane (2001), C’est ça que Dieu nous a donné (2003), Ptolémée de Maurétanie, Le dernier Pharaon avec Josiane Lahlou (2005), Dalal, mon amour, (2006), Anthologie de la poésie de langue française au Maroc (2005), Argaz Izgan ou L’homme immobile (2008).