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Clôture à Agadir du 2ème Festival national des jeunes chorégraphes
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Installations immersives, IA et art génératif au programme de la 31ème édition du FIAV
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Tomber de rideau sur le 1er Festival international des cultures de Casablanca
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La Fondation nationale des musées rend hommage au professeur d'anthropologie Ali Amahan
Né en 1932 à Casablanca. Poète, nouvelliste et romancier «français du Maroc» ou «pied noir» Atlantique comme il aime se définir lui-même. Agrégé de lettres classiques, brillant helléniste et latiniste, il a traduit Sophocle et Sénèque. Il a obtenu le Prix du Maroc de poésie en 1947 pour un poème paru dans la Vigie Marocaine. Intellectuel engagé politiquement.
Il a été l’un des signataires de «la motion des 481 Français» exigeant l’indépendance immédiate et sans condition de l’Algérie, ce qui lui a valu d’être radié de la fonction publique française. Il a choisi de rester au Maroc où il a exercé le métier d’enseignant grâce à une autorisation de Mohamed V. Et depuis sa retraite, il se consacre exclusivement à l’écriture. Il dirige la revue annuelle Agora et encourage les jeunes écrivains à publier leurs romans et nouvelles, comme c’est le cas dans Côté Maroc (avec ses 7 tomes) qu’il a dirigé. Il a à son actif de nombreux ouvrages : Nous l’appellerons Mehdi (roman, 1994, Prix Grand Atlas), Des pruneaux dans le tagine (1995), Pas de visa pour le paradis d’Allah (1997), L’inspecteur Kamal fait chou blanc (1998), La cavale assassinée (1998), Rapt à Inezlane (2001), C’est ça que Dieu nous a donné (2003), Ptolémée de Maurétanie, Le dernier Pharaon avec Josiane Lahlou (2005), Dalal, mon amour, (2006), Anthologie de la poésie de langue française au Maroc (2005), Argaz Izgan ou L’homme immobile (2008).








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