A la Villa des Arts de Casablanca : Nabyla Maan clôt les “Acoustic Sessions”


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Mercredi 27 Mai 2009

A la Villa des Arts de Casablanca : Nabyla Maan clôt les “Acoustic Sessions”
La jeune chanteuse Nabyla Maan se produira samedi 30 mai en clôture des « Acoustic Sessions » organisées par la Fondation ONA, à la Villa des Arts de Casablanca.
A 17 ans déjà, Nabyla Maan est auteur, compositeur, interprète et membre de la S.A.C.E.M. Elle signe son premier contrat de production avec Platinium music et enregistre son premier album « D’nya ». L’aventure commence. On parle d’une jeune prodige, d’une future diva. Le feedback de « D’nya » est appréciable. A travers cet album, Nabyla Maan a brillé par ses reprises du groupe mythique « Nass El Ghiwane », par sa reprise originale de Houcine Slaoui et par ses propres créations où elle a choisi de diversifier les styles pour mieux illustrer les multiples facettes de ses émotions.
A 19 ans, elle est la plus jeune artiste marocaine et arabe à se produire à l’Olympia à Paris en première partie des Ghiwan. A 20 ans, elle traverse la Méditerranée pour une tournée en Hollande où elle se produit comme artiste confirmée et y découvre un public exceptionnel qui chante avec elle ses chansons même celles en langue française alors que les Hollandais ne sont pas francophones.
Après avoir fait redécouvrir « Allah Ya Moulana » et « Essiniya », les mythiques « poèmes musicaux » du légendaire groupe Nass El Ghiwane à travers son album « D’nya », une fois de plus, Nabyla Maan transporte son public, à travers son deuxième album « Ter El Ali», vers un univers entièrement renouvelé. Elle a le don de surprendre par sa capacité à dévoiler de nouvelles facettes dissimulées de sons, dont les mélodies se métamorphosent totalement à son contact pour laisser place à une magie si particulière dont seule Nabyla Maan a le secret.
A travers son nouvel opus, elle dévoile des œuvres musicales composées de rythmes tous autant différents les uns des autres et qui, pourtant, au final se livrent dans leur intégralité avec cette franchise et cette désinvolture déconcertante si propres à l’univers de cette artiste. Les sonorités latino-américaines orchestrées dans cet album se mêlent parfaitement aux résonances hard rock pour se fondre avec le toucher arabo-occidental auquel Nabyla Maan reste si attachée. Outre les 9 nouvelles œuvres musicales qu’elle a composées, ce deuxième album offre l’occasion de découvrir ou de faire découvrir, d’une manière différente, des chansons déjà connues. Il s’agit de « Padam Padam » d’Edith Piaf, « Laklam lamrassae & Lajwad » de Jil Jilala et « Ya wlidi » de Abdessadek Chekkara.


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