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La kasbah, longtemps oubliée, personne n’en entendit plus parler jusqu’au jour où les différentes composantes de la tribu décidèrent de restaurer l’unité de la tribu dont les éléments étaient dispersés pour raisons politiques et économiques. Ils décidèrent, en même temps, de restaurer cette kasbah symbole du poids de la tribu sur le plan local et des liens qui ont existé, au cours des siècles avec le Trône alaouite, démentant ainsi la propagande selon laquelle le Maroc est un intrus qui vient occuper une terre étrangère.
Lors de cette cérémonie à laquelle ont assisté plus de 4.000 personnes et où étaient représentées toutes les tribus sahariennes aux côtés des représentants des populations de la ville de Laâyoune, les Izerguiyne ont procédé à la lecture d’une lettre qu’ils considèrent comme celle de la concorde, de la solidarité et de la défense de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale du pays.
Cette tentative de ranimer la fibre patriotique des Sahraouis en leur rappelant les liens qui les ont toujours unis au Maroc, durant des siècles, n’étaient pas pour plaire aux séparatistes de l’intérieur qui ont fait du porte-à-porte dans la ville de Laâyoune, distribuant des tracts dénonçant cette initiative la traitant de féodale et télécommandée par les services marocains.
Les organisateurs estiment que ces tracts n’ont fait que consolider l’unité des participants qui sont venus très nombreux et invitent les autres tribus à agir de même pour lutter contre le séparatisme, nous déclare Ayach Duihi, un jeune Izerguiyne.