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Sous la direction du Maestro Toni Cuenca, l’orchestre a célébré la diversité culturelle de cette région en proie à des vagues interminables de repli sur soi, de violence extrémiste, d’anarchie et de crises aiguës. C’est dans cette optique que cet évènement historique, a déclaré M. Al-Nasser à la MAP, atteste de "l’engagement continu du Maroc et du Souverain pour une Méditerranée débarrassée des démons de l’intolérance, de la xénophobie et du rejet de l’autre". Il n’a pas manqué de féliciter le Royaume pour avoir assumé le rôle de pont entre les deux rives, entre Orient et Occident, "à un moment difficile où notre région est confrontée aux discours haineux, à la violence aveugle et à l’extrémisme".
Par ce premier évènement multiculturel du genre, le Maroc a eu une nouvelle fois droit à la reconnaissance de la communauté internationale en tant que pays précurseur en matière de promotion du dialogue intercivilisationnel. D’autant plus que la démarche du Royaume s’inscrit dans le droit fil des valeurs portées par les Nations unies en termes de respect de la diversité culturelle et de rejet de l’extrémisme sous toutes ses formes.
Devant une assistance nombreuse issue notamment de la communauté diplomatique de Genève, le sous-secrétaire général des Nations unies, Michel Sidibé, a en effet rendu un hommage appuyé à SM le Roi Mohammed VI pour "son implication continue et sans faille pour les grandes questions qui préoccupent l’humanité". Il a, à ce propos, relevé les efforts que ne cesse de déployer le Maroc en vue de faire de la Méditerranée un espace d’échange, de stabilité et une voie de communication, et non plus une zone hantée par les maux du terrorisme, les drames des migrants et les replis en tout genre.