Autres articles
-
Fès abrite le 9ème Congrès international des Sciences sociales et Santé
-
Larache: Lancement des travaux d’aménagement de la forêt urbaine "La Hipica"
-
Région Béni-Mellal-Khénifra: signature d’une convention de partenariat pour la collecte de données sur les ménages
-
M’diq: Salon des femmes rurales pour encourager les initiatives économiques
-
Le 59ème Salon international de la rose à parfum, du 3 au 6 mai à Kelâat M’Gouna
A la veille de la Journée internationale de la femme, une négligence médicale à l’hôpital provincial de Khénifra a fait de nouveau une victime.
Prise de contractions utérines, une femme enceinte s’est présentée à la maternité de l’hôpital de Khénifra qui a d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre sans que les autorités sanitaires du pays prennent les décisions adéquates. Après consultation, elle fut priée de rentrer chez elle puisque, selon le staff médical, sa grossesse n’était pas arrivée à son terme.
A peine fut-elle rentrée qu’elle fut prise de douleurs provoquant une hémorragie intense. Transportée à l’hôpital en urgence, elle allait succomber suite à cette hémorragie. La famille a refusé de récupérer le corps de la victime accusant les gestionnaires de cet hôpital d’être à l’origine du décès de la femme.
Les autorités judiciaires auraient ordonné une autopsie pour déterminer les causes du décès. Un beau cadeau pour un 8 mars offert par l’hôpital de Khénifra qu’on qualifie à juste titre, de couloir de la mort. Et dire que cela arrive au moment où l’on parle du recul de la mortalité maternelle.
Prise de contractions utérines, une femme enceinte s’est présentée à la maternité de l’hôpital de Khénifra qui a d’ailleurs fait couler beaucoup d’encre sans que les autorités sanitaires du pays prennent les décisions adéquates. Après consultation, elle fut priée de rentrer chez elle puisque, selon le staff médical, sa grossesse n’était pas arrivée à son terme.
A peine fut-elle rentrée qu’elle fut prise de douleurs provoquant une hémorragie intense. Transportée à l’hôpital en urgence, elle allait succomber suite à cette hémorragie. La famille a refusé de récupérer le corps de la victime accusant les gestionnaires de cet hôpital d’être à l’origine du décès de la femme.
Les autorités judiciaires auraient ordonné une autopsie pour déterminer les causes du décès. Un beau cadeau pour un 8 mars offert par l’hôpital de Khénifra qu’on qualifie à juste titre, de couloir de la mort. Et dire que cela arrive au moment où l’on parle du recul de la mortalité maternelle.
