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Dans une interview accordée à l'émission Evening News de CBS, Hillary Clinton précise que l'administration Obama a été "très claire" dans ses déclarations concernant la perte de légitimité du chef de l'Etat syrien. La Maison blanche n'a toutefois toujours pas appelé Assad à la démission. "Il est important que ce ne soit pas seulement la voix de l'Amérique. Et nous voulons nous assurer que d'autres voix se font entendre de par le monde", a expliqué Clinton. Turquie, Arabie Saoudite et Egypte ont appelé Assad à faire cesser la violence. Le président américain Barack Obama s'est entretenu jeudi avec le Premier ministre turc Tayyip Erdogan et les deux dirigeants sont d'accord pour appuyer les demandes des manifestants en faveur d'une démocratisation du pays, a déclaré la Maison blanche.
Les médias indépendants sont interdits d'accès en Syrie depuis le début du soulèvement il y a cinq mois. Les autorités ont conduit jeudi un groupe de journalistes turcs autour de la ville de Hama, cible d'une offensive militaire d'une semaine qui s'est achevée le week-end dernier. Les rues y étaient désertes, des vitres brisées et la plupart des magasins étaient fermés.