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30 jours après que le Front du Polisario a annoncé la libération de Mustapha Salma Ould Sidi Mauloud, ce dernier reste toujours incarcéré et sa famille subit des menaces et des pressions jour après jour dans les camps de Tindouf. Telle est l'affirmation du Collectif des organisations des droits humains marocains et le Comité pour la libération de Mustapha Salam Ould Mauloud, réunis vendredi dernier au siège de l'OMDH à Rabat.
Lors de cette rencontre, Amina Bouayach, présidente de l'OMDH, a déclaré que les 16 organisations composant le Collectif appellent à la libération de Mustapha Salma et son droit d'exprimer en toute liberté ses opinions. Par ailleurs, elle a souligné qu'il s'agit d'un fait sans précédent, dans l'histoire moderne : des responsables déclarent la libération d'un détenu alors qu'il continue à subir la torture et la peine d'emprisonnement. Ainsi, elle estime qu'il s'agit d'un mépris à l'égard des défenseurs des droits humains au Maghreb en général et au Maroc en particulier.
Elle a souligné que l'OMDH avait adressé à ce sujet une lettre au Premier ministre algérien en vue de permettre à une délégation de rendre visite à la famille de Mustapha Salma aux camps de Tindouf. Or, les autorités algériennes s'abstiennent d'acquiescer à cette requête.
De son côté, Essalah El Ismaîli, coordinateur du Comité pour la libération de Mustapha Salam Ould Mauloud, a affirmé que les agents du Polisario, en se soumettant aux ordres du pouvoir algérien, persistent à torturer et humilier le militant sahraoui. Et d'ajouter que ces actes barbares constituent une violation flagrante et éhontée des Conventions internationales. En outre, il a mentionné que Mustapha Salma a failli être tué après qu'un agent du Polisario a tiré sur lui. La balle l'a touché à la jambe droite.
Rappelons enfin que le Collectif des organisations marocaines des droits humains est composé, entre autres, de l'OMDH, du Forum des Alternatives Maroc, Bayt Al Hikma, du Forum marocain pour la vérité et la justice, du Médiateur pour la démocratie et les droits humains, l'Association Achouâla, l'Association Adala. L'ensemble de ces ONG a affirmé son soutien à Mustapha Ould Salma et dénonce les tortures que lui inflige le Front de Polisario en toute impunité.
Lors de cette rencontre, Amina Bouayach, présidente de l'OMDH, a déclaré que les 16 organisations composant le Collectif appellent à la libération de Mustapha Salma et son droit d'exprimer en toute liberté ses opinions. Par ailleurs, elle a souligné qu'il s'agit d'un fait sans précédent, dans l'histoire moderne : des responsables déclarent la libération d'un détenu alors qu'il continue à subir la torture et la peine d'emprisonnement. Ainsi, elle estime qu'il s'agit d'un mépris à l'égard des défenseurs des droits humains au Maghreb en général et au Maroc en particulier.
Elle a souligné que l'OMDH avait adressé à ce sujet une lettre au Premier ministre algérien en vue de permettre à une délégation de rendre visite à la famille de Mustapha Salma aux camps de Tindouf. Or, les autorités algériennes s'abstiennent d'acquiescer à cette requête.
De son côté, Essalah El Ismaîli, coordinateur du Comité pour la libération de Mustapha Salam Ould Mauloud, a affirmé que les agents du Polisario, en se soumettant aux ordres du pouvoir algérien, persistent à torturer et humilier le militant sahraoui. Et d'ajouter que ces actes barbares constituent une violation flagrante et éhontée des Conventions internationales. En outre, il a mentionné que Mustapha Salma a failli être tué après qu'un agent du Polisario a tiré sur lui. La balle l'a touché à la jambe droite.
Rappelons enfin que le Collectif des organisations marocaines des droits humains est composé, entre autres, de l'OMDH, du Forum des Alternatives Maroc, Bayt Al Hikma, du Forum marocain pour la vérité et la justice, du Médiateur pour la démocratie et les droits humains, l'Association Achouâla, l'Association Adala. L'ensemble de ces ONG a affirmé son soutien à Mustapha Ould Salma et dénonce les tortures que lui inflige le Front de Polisario en toute impunité.
