-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Organisée par le Ciné-club de la petite ville du nord-ouest, cette manifestation cinématographique a vocation de promouvoir la pour production cinématographique marocaine et tout particulièrement amazighe.
Conférence, projections de films, hommages, compétition comptent parmi les nombreuses activités inscrites au programme de cette édition qui promet de merveilleux moments de détente et de bonheur. Pour sa dixième bougie, les organisateurs annoncent la projection de plusieurs films amazighs au bonheur du public local mais aussi des habitants des régions environnantes. Parmi les productions annoncées, on cite "Itto Titrit" (2008) du cinéaste Mohamed Oumouloud Abbazi, le long métrage "Tamazight oufella" (2008) de Mohamed Mernich, et "Sellam et Dimitan" (2008) du réalisateur et scénariste Mohamed Amin Benamraoui.
Outre l’organisation d’une compétition pour les vidéastes amateurs, baptisée du nom de feu Mohamed Méziane et des projections de nouveaux films marocains, le Festival prévoit aussi une conférence sur "La place du symbole dans le cinéma marocain".
Deux expositions sont également annoncées en marge de cette édition. La première porte sur les formes d’expression artistiques amazighes, alors que la seconde sur le livre amazigh comprenant les publications de l’IRCAM et de l’Association marocaine de recherche et d’échange culturels.
Soulignons enfin qu’un hommage sera rendu à deux figures du monde de la culture et des arts. Il s’agit de la comédienne Fatima Hrindi plus connue sous le sobriquet de "Rawiya" et Mohamed Ariouss, scénariste et critique de cinéma.
Le Festival du cinéma marocain bénéficie de la collaboration du Centre cinématographique marocain (CCM) et de l’Institut Royal de la culture amazighe (IRCAM) et de nombreux autres partenaires.