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Le peintre marocain (décédé à Marrakech en 2014) a également manifesté une nette préférence pour les matériaux traditionnels, tels que le cuivre. “Ce fut une célébration du passé pré-colonial et multiculturel du Maroc, tout comme ses nombreuses références à la culture matérielle amazighe et africaine, dont son usage de signes de Tifinagh, de motifs de tapis amazighs et tatouages dans ses peintures”, explique la même source.
Le travail de Belhakia a mis en lumière les méthodes artisanales de “la culture séculaire, ainsi que les arts populaires et traditionnels” au Maroc, qui sont restés fidèles à leur passé historique et spirituel, ajoute-t-on.
Dans le même sillage, une rétrospective de Farid Belkahia devrait avoir lieu prochainement au centre Pompidou de Paris. De même, 5 de ses œuvres seront bientôt mises en vente à Casablanca, dans des enchères organisée par la Compagnie marocaine des œuvres et objet d’art (CMOOA).








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