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L'industrie cinématographique maghrébine fait face à des défis communs qui nécessitent une coordination accrue et une action collective pour les affronter, a estimé, mercredi à Agadir, le réalisateur et cinéaste franco-algérien, Rachid Bouchareb.
S'exprimant lors d'une rencontre organisée dans le cadre des festivités de la 16ème édition du Festival international "Cinéma et migrations" d'Agadir (FICMA), M. Bouchareb a mis en exergue les principaux défis auxquels l'industrie cinématographique au Maghreb fait face, notamment en matière de production, de distribution et de soutien.
"Au Maghreb, les professionnels du 7e art expriment les mêmes doléances quant aux problèmes qui entravent l’épanouissement du cinéma", a-t-il noté, mettant l'accent sur l'importance d'accorder une attention particulière à cette industrie, en dépit de son caractère artistique, particulièrement à travers le renforcement des incitations financières au profit des cinéastes, "qui se débrouillent souvent pour réaliser leurs films".
Le cinéaste a plaidé à cet égard pour donner une place de choix à l'industrie cinématographique au Maghreb et ce, en créant davantage d'établissements chargés de l'examen des possibilités de réalisation, de promotion et de distribution des films à l'étranger, insistant sur la nécessité d'apporter des solutions concrètes et appropriées pour faire face au problème de fermetures définitives des salles de cinéma à travers les pays du Maghreb.
"On ne peut pas parler d'industrie cinématographique sans incitations économiques et fiscales, à l'instar d'autres secteurs qui bénéficient largement des soutiens des Etats maghrébins", a poursuivi le réalisateur, appelant à la dynamisation du secteur cinématographique et à son intégration dans les parcours éducatifs, à la création davantage de multiplexes et de salles de cinéma, et à la valorisation des métiers relatifs à ce domaine afin de mieux diffuser et promouvoir le produit cinématographique maghrébin dans toutes ses catégories.
S'exprimant lors d'une rencontre organisée dans le cadre des festivités de la 16ème édition du Festival international "Cinéma et migrations" d'Agadir (FICMA), M. Bouchareb a mis en exergue les principaux défis auxquels l'industrie cinématographique au Maghreb fait face, notamment en matière de production, de distribution et de soutien.
"Au Maghreb, les professionnels du 7e art expriment les mêmes doléances quant aux problèmes qui entravent l’épanouissement du cinéma", a-t-il noté, mettant l'accent sur l'importance d'accorder une attention particulière à cette industrie, en dépit de son caractère artistique, particulièrement à travers le renforcement des incitations financières au profit des cinéastes, "qui se débrouillent souvent pour réaliser leurs films".
Le cinéaste a plaidé à cet égard pour donner une place de choix à l'industrie cinématographique au Maghreb et ce, en créant davantage d'établissements chargés de l'examen des possibilités de réalisation, de promotion et de distribution des films à l'étranger, insistant sur la nécessité d'apporter des solutions concrètes et appropriées pour faire face au problème de fermetures définitives des salles de cinéma à travers les pays du Maghreb.
"On ne peut pas parler d'industrie cinématographique sans incitations économiques et fiscales, à l'instar d'autres secteurs qui bénéficient largement des soutiens des Etats maghrébins", a poursuivi le réalisateur, appelant à la dynamisation du secteur cinématographique et à son intégration dans les parcours éducatifs, à la création davantage de multiplexes et de salles de cinéma, et à la valorisation des métiers relatifs à ce domaine afin de mieux diffuser et promouvoir le produit cinématographique maghrébin dans toutes ses catégories.