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Netflix est un gros consommateur. Lionel Liminana - cerveau, barbe et guitare de groupes rock comme les Liminanas ou encore L’Epée - a co-composé la B.O. du long-métrage “The Last Days Of American Crime”, sorti récemment sur la plateforme. Pour celui qui a “toujours rêvé de faire de la musique de film”, comme il le glisse à l’AFP, se sont enchaînés “coup de fil de la maison de disque”, “lecture du comics d’origine dans le train” et rencontre avec le réalisateur Olivier Megaton, “devenu un ami”. Quels sont donc les circuits de la synchro? Quand Charles-Henri de Pierrefeu a commencé au début des années 1990, il était “un peu seul”. Mais depuis les années 2000, toutes les maisons de disques et tous les labels s’y sont mis. Avec, en gros, trois branches: le catalogue -morceaux déjà commercialisés-, la librairie musicale -titres non commercialisés- et la composition originale. Aurélien Viot s’est, entre autres, attaché à développer le deuxième service chez Because. “Je demande à tous nos artistes de faire des morceaux, qui entrent dans une base de données accessible aux clients. Auparavant, c’était jugé comme de la « musique au mètre », de la « musique d’ascenseur », mais depuis quelques années, il y a de la qualité”, détaille-t-il à l’AFP.
“Maintenant, les bibliothèques sonores sont bien faites et pas chères”, acquiesce auprès de l’AFP Pierre Colleu, de Bpc Studio, spécialisé dans la musique de film, qui subit cette concurrence.