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Tous ces détails n’avaient pas été révélés quand la tournée mondiale de Madonna s’était achevée le 9 mars avant les deux dernières dates prévues dans la capitale française. Le “Madame X Tour”, entamé à New York en septembre, était passé auparavant par Chicago, San Francisco, Las Vegas, Los Angeles, Boston, Philadelphie, Miami, Lisbonne et Londres. L’escale parisienne fut épique entre retard de 3h30 (début du show à minuit) pour la première soirée parisienne dans la nuit du 22 au 23 février, puis une représentation annulée le 1er mars en raison de “blessures permanentes” de la chanteuse, selon le Grand Rex, la salle qui l’accueillait.
Danseuse, prisonnière, mère, chanteuse, sainte, prostituée, espionne, militante...: Madonna était tout cela à la fois et bien plus encore dans ce spectacle le plus intimiste, engagé et probablement ambitieux de sa carrière. Jean Paul Gaultier, son couturier fétiche qui signait à nouveau pour elle une garde-robe toujours aussi provocante, était au premier rang, le premier soir à Paris.
Bouillon de culture
Le co-fondateur du groupe pionnier de la musique électronique Kraftwerk, l’Allemand Florian Schneider-Esleben, est mort à l’âge de 73 ans des suites d’un cancer. “Florian Schneider est décédé d’un cancer fulgurant, quelques jours seulement après son 73e anniversaire”, a indiqué à l’AFP Alexandra Greenberg, citant des propos de l’autre fondateur de Kraftwerk, Ralf Hütter. La collaboration entre les deux musiciens avait débuté en 1968 avant qu’ils ne fondent deux ans plus tard à Düsseldorf, ville de l’Ouest de l’Allemagne, Kraftwerk. Né dans la Ruhr industrielle, ce groupe entendait développer une musique typiquement allemande, mariant leur langue maternelle aux sons des grandes villes, à rebours de la pop anglo-saxonne apportée par les troupes d’occupation. Kraftwerk - qui signifie “centrale électrique” en allemand - avait expliqué vouloir faire de la musique plus comme des machines que comme des humains. Sur scène, ses membres aux costumes identiques mimaient ainsi les gestes automatisés de robots. Sa musique, alliant basse obsédante, nappes de synthétiseurs et boîte à rythmes, a séduit le public et bon nombre d’artistes, de David Bowie à Daft Punk, et eu une influence sur bon nombre de genres musicaux comme la new wave, la synthpop, le hip-hop, le rock et bien sûr la techno.