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Son prédécesseur en est persuadé : Colin Farrell va être parfait dans ce rôle, notamment parce que c’est un habitué des transformations physiques. Pour The Lobster, il avait accepté de prendre 21 kilos. “Il va être génial parce que c’est un grand acteur”, a-t-il confié à nos confrères de Collider, rapportés par Télé-Loisirs. Et lorsque l’on demande à Colin Farrell s’il a été difficile de s’impliquer dans un tel projet... Comme beaucoup, l’univers de Batman et des méchants à qui il se confronte représente un véritable fantasme pour un acteur. “Faire partie de cet univers... Il y a certains mots qui font partie de mon lexique interne: Gotham City, Penguin, Joker, Batman, Bruce Wayne, Harvey Dent, toutes ces choses”, a-t-il déclaré à GMA News Online.
C’est donc avec l’envie d’un fan qu’il s’est lourdement grimé pour se glisser dans la peau de ce méchant : “La création de celui-ci, l’esthétique du personnage, a été amusant et je suis vraiment très excité de revenir et de l’explorer”, a-t-il ajouté avant de préciser que néanmoins son rôle allait demeurer secondaire : “Je n’ai pas grand chose à faire. Mais il y a quelques scènes savoureuses”. D’autant plus savoureuses que c’est la première fois que Colin Farrell participe à un tel opus : “C’est quelque chose que je n’ai pas eu l’occasion d’explorer auparavant.” Le film est prévue pour le début du moins d’octobre 2021.
Pour ceux qui ne connaissent pas Colin Farrel, c’est sa mère qui le pousse dès son jeune âge vers le milieu artistique, en le forçant à prendre des cours de danse. Il se cherche ensuite durant son adolescence entre une carrière sportive, une carrière de chanteur et une carrière d’acteur. Mais pour suivre les pas de son idole Al Pacino, Colin Farrell entre dans une école d’art dramatique à Dublin en Irlande, et apparaît dès ses 20 ans dans des séries anglaises, puis quelques films. Le véritable parrain artistique de Colin Farrell s’appelle cependant Joel Schumacher. Le réalisateur lui donne en effet le rôle de Bozz, un jeune texan fougueux dans «Tigerland», et fait dès lors exploser sa carrière. N’hésitant pas à jouer dans le plus simple appareil, Colin Farrell offre de plus une belle performance qui lui permet d’être rapidement repéré par les plus grands. Steven Spielberg lui donne ainsi le rôle d’un flic chevronné, déterminé à arrêter Tom Cruise dans Minority Report et joue face à Bruce Willis (Mission Evasion) ou son idole Al Pacino (La Recrue). Les personnalités du métier louent son professionnalisme et les critiques félicitent son jeu dense : Colin Farrell entre tout droit dans la catégorie des jeunes acteurs doués sur lesquels Hollywood doit compter.