-
L’intelligence artificielle et la démocratie participative au cœur du nouveau numéro de la REIEJP
-
Pr Mohamed Knidiri : Le FNAP est l’affirmation de notre identité, de notre culture et de la force de leur profondeur historique
-
1ère édition des Rencontres méditerranéennes de Tanger
-
Sous les étoiles de la Tanger Fashion week : Luke Evans, Chopard, Vivienne Westwood, une nuit étincelante pour la Fondation Lalla Asmaa
Dans un entretien avec la chaîne CBS, Jennifer, 46 ans, a évoqué les mauvais côtés de sa célébrité, qui est arrivée, du jour au lendemain, grâce à la série “Alias”. L’actrice confie: “C’est perturbant d’être reconnue dans la rue, perturbant et choquant.” Longtemps harcelée par les paparazzis, elle se souvient: “Pendant au moins dix ans, il y avait toujours cinq ou six voitures minimum garées devant ma maison, 15-20 durant les week-ends. Tout le temps. Quand j’y repense, je ressens encore ce stress. Et rien que d’en parler, ça me donne envie de pleurer.”
“Quand on scrute comme ça votre vie privée, vous ressentez une certaine pression, il faut que quelque chose arrive, que vous vous dépêchiez”, a-t-elle ajouté. “Vous avez la pression pour vous marier. Parce que vous vous dites que ça va mettre fin aux rumeurs du genre ‘Est-ce qu’ils sont fiancés ou pas?’ Et c’est vrai dans l’autre sens, quand la presse people décide qu’il y a des problèmes dans votre couple, ça peut créer des problèmes.”
Aujourd’hui, Jennifer vit sa vie sans se soucier des paparazzis. “Je ne regarde pas ces photos. J’ai pris une décision sérieuse: personne ne devrait voir des photos de soi prises comme ça. Le matin, vous pouvez choisir entre préparer un petit-déjeuner pour vos enfants ou vous préparer pour les photos des paparazzis, je sais ce que j’ai choisi”.