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Maintenant que le nombre de cas actifs a explosé, atteignant les 2053 cas, pour un total de 10.693 cas enregistrés sur le territoire national, on a de plus en plus de mal à décrypter une courbe épidémiologique incompréhensible. Mais a priori, d’après Driss Elhabchi, on est encore loin d’un scénario catastrophe. Le responsable du service de chimie et toxicologie à l’Institut Pasteur de Casablanca se veut rassurant : La récente hausse des cas ne doit pas inquiéter les citoyennes et citoyens car la gravité de la situation épidémique est principalement établie grâce au nombre de malades hospitalisés dans un état grave. Aujourd’hui (avant-hier), on n’en dénombre pas plus de 9 patients dans tous les hôpitaux du Royaume》.Puis d’ajouter que les cas recensés seront traités et guéris dans 10 jours. En revanche, Driss Elhabchi prévient qu’en l’absence d’un respect strict des mesures sanitaires, le risque d’une deuxième vague deviendra plus qu’une
hypothèse. A la lumière de ses éléments, le Maroc sait à quoi s’attendre et surtout comment éviter le pire, et ce dans un contexte mondial de plus en plus pesant. D’ailleurs avec un million de nouveaux cas en « seulement huit jours », l’OMS craint une nouvelle accélération de la pandémie dans le monde comme c’est déjà le cas en Amérique latine.
En attendant de voir ce que l’avenir nous réserve, les bonnes nouvelles continuent à affluer avec un nombre de guérisons passé à 8.426, grâce à 19 nouvelles guérisons enregistrées mercredi matin. Le nombre de décès est, quant à lui, resté inchangé (214).